A l'heure où le chômage est omniprésent, où les difficultés financières des citoyens se fait ressentir de plus en plus, où le nombre de chômeur est en augmentation (malgré la chasse qui se déroule et qui doit permettre d'en liquider au plus vite...).
Certains bénéficiaires ont pourtant plus que jamais besoin de ce revenu d'intégration qu'est le chômage. Parmis les demandeurs d'emploi et les chômeurs, il semblerait qu'il existe depuis toujours deux catégories: les vrais et les faux !
Une habitante de Charleroi centre ville, qui demeure à proximité du bureau d'un syndicat affirme: "Chaque fin de mois, j'assiste à un ballet incessant de voitures, surtout des grosses cylindrées, qui sur le coup de 18h30, 19h00 (quand les bureaux sont fermés) s'arrêtent devant le bureau et les occupants viennent glisser des cartes de chômage dans la boîte aux lettres . Parfois même, ils signent celle-ci sur la deventure, sans se cacher, avant de glisser le document dans la boîte. Le pire, c'est sans doute ceux qui le font tout en étant habillés encore "en tenue de travail" ou de chantier avec le nom de la société écrit dans le dos ! C'est purement scandaleux. J'en ai interpellé un, hier, il m'a affirmé que tout d'abord cela ne me regardais pas et ensuite s'est justifié par le fait que le système lui permettait de le faire sans se faire prendre, ce depuis plusieurs années déjà pour lui. Pourquoi n'en profiterait-il pas ? a t-il ajouté. Je n'en croyais pas mes oreilles !".
Et encore...